Le 10 juillet devant des associations, collectifs, occupants de squats et syndicats, alors que le préfet se montrait rassurant quand à la situations des squats durant l’été, et ne parlait que de la situation « problématique » de l’ancien Institut Buisson Bertrand, il préparait en réalité des expultions pour le 23. Expultions qui ont touché deux batiments du centre ville, mettant ainsi une cinquantaine de personnes et familles vulnérables à la rue, et d’autres en détention en CRA [1]. La généreuse solution fournie : 3 nuits d’hôtel et retour à la violence de la tente dans la rue.
