N. H. est accusée d’avoir dégradé une banque, la TAM et d’avoir provoqué la rébellion contre un policier.
S. C. est accusée d’avoir volontairement exercé des violences contre un policier. Ce mensonge est particulièrement grave car on lui reproche d’avoir mordu et mis un coup de boule à un flic...
L. C. est accusé d’avoir résisté avec violence à un policier. Il a été matraqué et strangulé pendant son arrestation.
Ces trois interpellés sont sous contrôle judiciaire, ils doivent pointer au commissariat deux fois par semaine en attendant de passer au tribunal le 6 décembre 2016.
Les deux femmes interpellées ont été insultées et violentées pendant leur garde à vue : des policiers les ont giflées et leur ont tiré les cheveux ; un supérieur a même déclaré à ses hommes qu’ils pouvaient faire "ce qu’ils voulaient d’elles".
F. F. est accusé d’avoir dégradé un mur et d’avoir dissimulé son visage. Il passe au tribunal le 15 mars 2017.