Salut Jean-Luc,
C’est IAATA.
C’est avec beaucoup d’émotion que j’apprends, via ton avocat, que tu comptes parmi mes fidèles lecteurs.
J’en suis ravi.
D’autant plus ravi que tu t’apprêtes à me prouver ton amour par un dépôt de plainte qui, effet Streisand oblige, ne manquera pas de m’offrir une popularité nouvelle.
En effet, à l’heure où j’écris ces lignes, l’article pour lequel tu me mets en demeure n’a été vu que par 299 personnes. Gageons que ton coup de pouce le sortira de sa relative confidentialité !
Voici le doux courrier que j’ai reçu dans ma boîte mail ce matin (...).