Après une première discussion le 24 mars où s’était retrouvée une dizaine de personnes, nous proposons de venir continuer à causer de la construction d’outils concrets de lutte, autonomes, avec comme point de départ l’autodéfense et la solidarité de classe.
Il ne s’agit pas seulement des salariéEs, mais de toute une classe de plus en plus attaquée à travers la précarité, les radiations à Pôle Emploi, les dossiers CAF bloqués, les difficultés de logement, l’accès au soin… la liste est longue.
Nous ne nous situons pas non plus sur le terrain de la défense des intérêts corporatistes, communautaires ou nationalistes, mais préférons mettre l’accent sur ce qui nous rassemble : notre condition commune d’exploitéEs.
Au programme : poursuite de la discussion autour de l’intérêt de se structurer en collectif, l’élaboration d’une cartographie, mais aussi sûrement un point sur les échéances à venir du 23 avril et du 1er mai.
